10 astuce pour apprendre  la langue française

10 astuce pour apprendre la langue française

10 trucs pour bien parler le français

bien parler le français, bien parler en français, Comment favoriser l’apprentissage du français
La langue française n'est guère une langue facile à apprendre. En effet, vu ses facettes grammaticales, elle peut effectivement donner un peu de fil à retordre aux gens qui tentent de l'apprendre. Malgré tout, il est tout de même possible d'en faire l'apprentissage et voici donc quelques trucs qui vous aideront à le faire.

1. Prendre un cours de français

De nombreux cours sont donnés pour apprendre le français. Il y a les cours en privé, mais également les cours qui sont donnés par des organismes ou des commissions scolaires. Les commissions scolaires seront par contre davantage axées sur l'apprentissage de l'orthographe et de la grammaire du français.

2. Regarder la télé en français

Si vous écoutez des émissions ou des téléromans qui vous accrochent et qu'en plus elles sont en français, cela vous aidera grandement à apprendre ou à perfectionner votre français. Vous comprendrez ainsi mieux le sens des phrases en la reliant aux images que vous voyez.

3. Écouter des chansons en français

Vous aimez une chanson française en particulier? Et bien écoutez-la et écoutez-en d'autre également pour vous aider à pratiquer votre oreille et votre parole française. Écouter et chanter en français vous aidera beaucoup à bien apprendre le français.

4. Converser avec des gens qui parlent français

C'est en vous mêlant aux autres qui parlent français que quotidiennement vous vous familiariserez avec la langue. N'ayez pas peur et échangez avec eux afin de bien pratiquer votre français.

5. Regarder des sous-titres

Que ce soit des films (sur DVD) ou des chansons (sur Youtube), vous pouvez lier votre ouïe à votre regard afin de bien apprendre le français. Si vous écoutez un film, vous pouvez mettre la langue que vous voulez et mettre les sous-titres en français pour bien comprendre la traduction. Et si vous écoutez des chansons et que vous lisez les paroles en même temps, cela constituera aussi une bonne pratique.

6. Toujours tenir un dictionnaire de poche en français avec vous

Un mot vous échappe et vous voulez comprendre rapidement la signification de certaines phrases? En ayant un petit dictionnaire de poche en mains vous pourrez à tous les coups trouver la signification.

7. Prendre des cours de diction

Le français est une langue qui demande une bonne articulation. Pour bien la prononcer, vous pouvez donc pratiquer votre diction avec un cours ou des exercices pratiques. Cela vous aidera grandement à pratiquer également votre accent.

8. Lire des livres en français

En lisant des livres en français, vous pourrez non seulement vous familiariser avec son orthographe, mais en plus, vous pourrez pratiquer votre langue en lisant à voix haute. Plus vous lisez et plus vous apprendrez le français.

9. Faire un voyage linguistique

Si vous avez les moyens de le faire, un petit voyage linguistique en France ou au Québec vous aidera bien-sûr à vous pratiquer avec la langue française.

10. Écrire des textes en français

Cela vous permettra de bien pratiquer la langue. En écrivant, vous chercherez à bien orienter vos phrases et à trouver les bons mots pour exprimer ce que vous désirez. Aussi, vous pourrez toujours chercher dans le dictionnaire.



comment apprendre une langue étrangére facilement





Même si les langues ne sont pas votre fort, il est possible (avec de la patience, du zèle, et une dose d’humour) de parler une langue étrangère couramment en six mois ou moins.
Il est presque impossible d’apprendre une nouvelle langue, ou du moins, de l’apprendre rapidement, si vous ne pensez pas dans cette langue. Mais comment penser dans une langue qu’on ne parle pas?

Il vous suffit de vous immerger dans cette communauté. Voyager dans un pays étranger vous permet d’entendre les sons, le rythme et l’intonation de la langue que vous souhaitez apprendre, dans la rue, dans le bus, à la télévision, etc. Votre cerveau commence dès lors à assimiler et interpréter cette nouvelle langue.
Une méthode encore plus efficace que de voyager est de se forcer à « fonctionner » dans cette nouvelle langue, en participant à un programme de bénévolat, ou en travaillant à l’étranger. Être en immersion totale avec les habitants du pays choisi (en vivant dans une famille d’accueil par exemple) et éviter de fréquenter les personnes qui parlent votre langue est la clef de votre réussite.
Plongez-vous dans la vie quotidienne des autochtones: découvrez leur musique, leurs medias, leurs actualités politiques, leurs sports, leurs familles, etc. Attirez-vous les bonnes grâces de la communauté qui parle cette langue, et vous aurez déjà fait la moitié du chemin!
2. Oubliez la traduction littérale et pensez comme un enfant!
Comment les enfants apprennent-ils à parler une langue? En imitant, en répétant les sons qu’ils entendent, et par-dessus tout, en n’éprouvant aucune timidité ou gène.
Peu importe si votre prononciation n’est pas parfaite, ou si vous ne vous souvenez pas de la bonne conjugaison d’un verbe: essayez de vous exprimer, même si cela ressemble à du charabia. Résistez à la tentation de tout traduire dans votre langue natale et vous pourrez alors faire des pas de géant dans votre apprentissage.
Au lieu de réciter au serveur une formule apprise par cœur ou d’énoncer à votre famille d’accueil une phrase toute faite pour exprimer ce que vous souhaiteriez manger, écoutez les habitants du pays commander leurs plats, et imitez-les en faisant du mieux que vous pouvez. Cette technique marche également quand il s’agit de saluer, ou d’avoir une conversation courte avec les autochtones. Regardez bien leurs mimiques faciales quand ils parlent, soyez attentif à la manière dont ils bougent leurs lèvres.
Imitez ces mimiques et ces sons tout comme le ferait un enfant. Que vous compreniez ce qui se dit ou pas, vous commencerez à utiliser ces sons, ces locutions, ces mots dans des situations adéquates; ils sortiront de votre bouche comme par magie. C’est de cette manière que l’on commence à penser dans une langue étrangère.
3. Comment dites-vous?
En plus des expressions de salutations, il est toujours malin de mémoriser les questions « comment dites-vous? Comment cela s’appelle-t-il ? » dans la langue que vous souhaitez apprendre.
Un voyageur curieux qui pose toujours des questions se fait des amis parmi les habitants du pays. Vous verrez qu’ils s’ouvriront rapidement à vous, vous donnant l’occasion d’engager la conversation plus facilement. Ces interactions journalières avec les habitants sont un atout majeur dans votre apprentissage. Fixez-vous un objectif quotidien, décidez d’engager un certain nombre de conversations avec les autochtones et parlez-leur de choses qui vous intéressent mais dont vous ne connaissez pas le vocabulaire. Même si vous ne pouvez pas finir vos conversations, vous êtes sur la bonne voie.
4. Écrivez
Après vos conversations, écrivez ce que vous vous souvenez avoir entendu, mais que vous ne compreniez pas (cela peut également vous aider si vous tenez un blog de voyages).
Quand vous avez un moment, relisez ce que vous avez noté et utilisez votre dictionnaire. Cherchez les mots, tentez de reconstituer la conversation dans votre tête. La prochaine fois que vous parlerez à un habitant du pays où vous voyagez, utilisez les nouveaux termes appris.
Quand j’apprenais le français et l’espagnol, je confectionnais des fiches de grammaire où j’écrivais les verbes pour apprendre leur conjugaison. En plus de m’aider à me concentrer, ces fiches étaient de très bons guides de référence.
5. Utilisez des mots apparentés et faites des liens
Avez-vous déjà remarqué que certains mots sont exactement les mêmes dans plusieurs langues? On les appelle des mots apparentés. Une fois que vous les avez découverts, vous pouvez ajouter plusieurs centaines de mots à votre vocabulaire. Par exemple, la plupart des mots qui finissent en « ion » dans les langues latines, sont les mêmes en anglais.
Par exemple : information / información, donation / donación
De la même manière, certains mots dans des langues différentes partagent la même racine, dès lors, vos connaissances dans une langue peuvent vous aider pour l’apprentissage d’une autre (par exemple: fromage en français et formaggio en italien). Des études ont également prouvé que la maîtrise d’une seconde langue favorisait l’apprentissage de davantage d’idiomes. Ne vous inquiétez pas, ça devient de plus en plus facile!
6. La télévision, les films, et la musique
Regardez des films, écoutez de la musique, chantez tout haut, lisez des journaux et des magazines locaux, c’est amusant et cela vous aidera à améliorer à la fois votre prononciation et votre compréhension.
Il m’arrive souvent de buter sur certains caractères chinois car je ne pratique pas cette langue assez souvent et les caractères chinois ne donnent aucune indication quant à leur prononciation. Cependant, j’ai appris beaucoup de nouveaux caractères et ma prononciation s’est améliorée en regardant régulièrement des vidéoclips de musique chinoise tout en suivant les paroles.
De la même façon, je me suis familiarisée au « bavardage » rapide des français en regardant des films français en DVD sans les sous-titres, et j’ai amélioré mon niveau d’espagnol en faisant bien attention quand je regardais des films d’action doublés dans cette langue lors de mes longs trajets en bus en Amérique du Sud.
Les cours de salsa m’ont aussi aidée à connaître ma derecha (droite) de ma izquierda(gauche)!
7. Les indices gestuels
Au-delà des mots, observez les autochtones quand ils parlent. Que ce soit un haussement d’épaules ou une inclinaison de la tête, les gestes associés à la nouvelle langue peuvent vous aider à mieux communiquer.
Le langage corporel est particulièrement important dans certaines cultures. Par exemple, au Japon, la révérence et la manière de saluer son interlocuteur sont deux éléments inséparables; il en est de même avec les gestes de la main et les intonations en Thaïlande. Adopter le langage corporel des Thaïs m’a permis d’enrichir mes interactions; j’ai appris comment hocher de la tête de manière adéquate et à exécuter des wai (joindre les deux paumes de mains devant la poitrine, doigts tendus, en esquissant une légère flexion du buste ou de la tête) pour saluer correctement les personnes rencontrées.
8. N’ayez pas peur de vos émotions
Les expériences liées à des sentiments forts laissent une empreinte marquée dans nos mémoires. Servez-vous des expériences amusantes et de celles qui vous ont mis en colère en les associant à la langue que vous apprenez.
J’ai appris à mes dépens l’importance du tilde (ñ) en espagnol, en disant « tengo 24 anos », ce qui signifie « j’ai 24 anus », au lieu de « tengo 24 años » qui lui signifie « j’ai 24 ans ».
Nul besoin de vous expliquer que le sentiment de honte qui s’ensuivit m’a permis de ne plus jamais faire cette erreur de prononciation. De même, négocier les prix avec des conducteurs de taxi véreux ou des vendeurs désagréables vous aide à apprendre rapidement les chiffres dans la langue du pays, et vous permet de ne pas vous faire arnaquer.
9. Apprendre entre amis ou se jeter seul dans la gueule du loup
Bien que les cours de langue particuliers puissent être très efficaces, prendre des leçons avec un groupe d’amis peut vous aider à progresser rapidement. Avoir un ami avec qui pratiquer vous permet de vous améliorer et vous pouvez également apprendre des erreurs des autres.
Néanmoins, partir seul dans un pays étranger a ses avantages, car cela vous force à parler la langue avec les autochtones quand vous prenez le bus ou quand vous faites la queue au marché. Être seul vous permet de vous lancer sans compter sur un ami aux compétences linguistiques avancées pour vous aider en permanence lors d’échanges importants, tels que demander votre chemin ou acheter de la nourriture.
10. Pratiquez dès que vous en avez l’occasion, avant et après votre séjour à l’étranger
Avez-vous déjà eu le sentiment d’être rouillé ou de manquer de confiance en vous en parlant une langue alors que vous aviez pris des cours ou que vous l’utilisiez (ou la maîtrisiez) auparavant? Les langues sont vivantes et elles demandent à être pratiquées. Trouvez des moyens d’utiliser vos compétences dès que l’occasion se présente.
Par exemple, je ne parle pas français très souvent dans ma vie de tous les jours, alors j’ai trouvé un correspondant français avec qui j’échange des courriels. Je garde également contact avec les personnes que j’ai rencontrées en France ou avec les voyageurs français que j’ai rencontrés au cours de mes périples. Écrire en français sur Facebook est un super moyen d’apprendre l’argot et de conserver vos connaissances!
les  vraies astuces pour vivre en bonne santé
 pour garder la forme et la santé le plus longtemps possible, voici les vraies astuces que vous ne verrez bien évidemment JAMAIS à la TV.

1) Suivez les conseils nutritionnels de base

Le plus important est de suivre les recommandations alimentaires que j’ai énoncées dans mon précédent article « Que peut-on (encore) manger aujourd’hui ? »
Voici donc un bref rappel :
  • N’allez plus dans les fast-foods : ce n’est pas nouveau, c’est la pire chose à faire. Voyez les américains…
  • Arrêtez les aliments bourrés de colorants, conservateurs, plein de « E » : chips, Curly, sodas, sirop…
  • Bannissez les aliments à index glycémique élevé : baguette classique, pâtes blanches, riz blanc, sucre raffiné…
  • Mangez des aliments à IG bas : légumes, légumineuses, oléagineux…
  • Évitez le gluten, le lactose et la caséine : pâtes, pain, gâteaux, farine de blé, laits animaux, fromage, beurre, margarine, yaourt, fromage blanc… Tous ces aliments favorisent la perméabilité intestinale, contribuant au développement d’un nombre impressionnant de maladies : de la schizophrénie à l’arthrose, en passant par la polyarthrite rhumatoïde,… bref toute sorte de pathologies.
  • Mangez des fruits et légumes à chaque repas : il faut les prendre bio car certains sont très traités dans l’agriculture conventionnelle. Ils sont riches en vitamines, minéraux, antioxydants etc… Variez, tous sont bons pour la santé. Pour reprendre un slogan connu : « Mangez les tous ! »
  • Limitez la consommation de viande rouge et de gros poissons : La viande rouge contient des antibiotiques, des toxines, beaucoup de graisses saturées. Si vous en prenez, il est primordial de la prendre bio (car les produits chimiques adorent se stocker dans la graisse). Concernant les poissons, évitez ceux en haut de la chaîne alimentaire (donc les plus gros), car ils ont une concentration en métaux lourds élevée. Vous pouvez consommer de la viande blanche plusieurs fois par semaine mais préférez la bio.
  • Mangez des œufs bio : très bons pour la santé, consommez les sans hésiter !
  • Optimisez vos apports en Omega-3 : huile d’olive, de colza, de lin, poissons gras (sardines, saumon, maquereaux…). Tous ces aliments sont bons pour le cœur, la mémoire, l’humeur. Les Omega-3 aident même à la perte de poids !

2) Évitez le bisphénol A

Le bisphénol A ou BPA est un composé chimique utilisé en association avec d’autres éléments dans la constitution des matières plastiques et des résines époxydes. On le trouve un peu partout : dans des contenants en plastique, le revêtement des conserves métalliques (dont les canettes), les bonbonnes d’eau en plastique dur (retrouvées en entreprise, dans les salles d’attente…), les tickets de caisse et jusqu’il y a peu de temps il était encore retrouvé dans les biberons. Le bisphénol A est très toxique et malheureusement il pénètre très facilement dans l’organisme.
De nombreuses études ont prouvé sa nocivité : il fragilise l’émail des dents, est probablement responsable de nombreux cancers, maladies cardio-vasculaires, diabète, il agit sur le cerveau, sur la fonction de reproduction (c’est un perturbateur endocrinien). Je vous conseille de jeter un œil à l’article Wikipédia, la liste des risques est très longue.
La première chose est de ne JAMAIS faire chauffer un plastique contenant de la nourriture.
C’est extrêmement toxique car le bisphénol A passe directement dans les aliments (pourtant, je vois souvent des gens mettre des plats en plastique au four micro-ondes : ne faites jamais ça !). Quand vous achetez vos produits en magasin, méfiez-vous des plastiques. Ne vous en faites pas, il existe un moyen simple de repérer le bisphénol A : sur l’emballage vous pouvez trouver le logo de recyclage ayant une forme triangulaire avec un numéro à l’intérieur.
Les identifiants 3, 6 et 7 indiquent des produits qui sont très susceptibles de contenir du bisphénol A. Évitez les comme la peste ! Remplacez les légumes en conserve par des légumes surgelés par exemple. Ils se tiennent longtemps et ont autant de vitamines que les légumes frais.
Remarque : à ma connaissance il n’y a que pour le brocoli que la congélation détruit un composé intéressant, il s’agit du sulforaphane, une molécule anti-cancer très utile pour prévenir cette pathologie.
Le bisphénol S (un composé encore plus toxique que le bisphénol A) ainsi que les phtalates (utilisés pour rendre les plastiques souples) sont également néfastes pour la santé. Tout ce que j’ai dit précédemment permet d’éviter bisphénol A, bisphénol S et phtalates. Il est important de préciser que ces trois composés chimiques sont omniprésents dans l’environnement et ils sont liposolubles c’est-à-dire qu’ils se stockent préférentiellement dans la graisse. C’est donc une raison de plus pour limiter votre consommation de viande grasse.

3) Fuyez l’aluminium

L’aluminium fait beaucoup parler de lui, notamment dans les déodorants. Effectivement c’est un métal très toxique (en particulier neurotoxique) qui n’est pas censé se retrouver dans l’organisme. Si le nombre de cas de maladie d’Alzheimer est croissant, ce n’est pas un hasard.
En effet, l’aluminium est retrouvé vraiment partout : déodorants, additifs alimentaires (E173), eau du robinet, vaccins, papier d’aluminium, ustensiles de cuisine, poêles, casseroles, médicaments…
Mon conseil est simplement d’éviter d’utiliser ou de consommer tous les produits contenant de l’aluminium :
  • Déodorant : n’achetez pas d’anti-transpirant. Prenez un déodorant sans aluminium, ni parabène.
  • N’achetez pas les aliments contenant du E173 : de toute façon vous savez désormais qu’il ne faut acheter aucun produit industriel.
  • Eau du robinet : utilisez des moyens de filtration.
  • Vaccins : ils soulèvent de nombreuses polémiques, notamment concernant leur nocivité.
  • Ustensiles de cuisine : évitez simplement ceux en aluminium
  • Poêles et casseroles : ne lez prenez pas en aluminium, tout simplement.

4) Prenez moins de médicaments

Vous avez mal à la gorge ou à la tête ? Le réflexe de la plupart des gens est de prendre un doliprane. C’est une très mauvaise idée de faire cela systématiquement, les médicaments sont néfastes à long terme.
Chaque année, en France, des dizaines de milliers de personnes meurent à cause des effets secondaires des médicaments (et des centaines de milliers sont hospitalisés) ! Souvent on prend des médicaments pour soigner de petits maux, on pense que ce n’est pas grave. On les utilise pour le mal de tête, le mal au ventre, parce qu’on est constipé, pour tout un tas de raisons.
Or cette consommation excessive se répercute sur l’état de santé. Sur la plupart des notices de médicaments, la liste des effets indésirables est longue comme le bras. Pourtant il existe énormément de façons de soigner naturellement et sans effet secondaire les petits maux de tous les jours : une tisane, les huiles essentielles, les plantes, la propolis,…
Consommez le moins possible de médicaments, vous ne vous en porterez que mieux.

5) Prenez des compléments alimentaires

Ce point complète le précédent dans le sens où si vous avez un statut optimal en vitamines et minéraux, vous serez en meilleure santé, vos visites chez le médecin se feront rares, vous ne dépenserez pas d’argent en médicaments.
J’en ai parlé dans un autre article mais il convient de détailler la vitamine C et la vitamine D :
  • Vitamine C : la particularité est que l’Homme est l’une des seules espèces qui n’en synthétise pas. C’est pourquoi il faut l’apporter par l’alimentation. Seulement, les fruits et légumes qui nous en apportent sont moins riches en vitamine C qu’autrefois. De plus, les besoins sont plus grands avec notre vie moderne : des villes polluées, la cigarette, des médicaments consommés en excès, trop de sport pour certains, du stress, beaucoup de stress. À titre d’exemple, un paquet de cigarettes détruit 500 mg de vitamine C ! Tous ces facteurs entraînent une surproduction de radicaux libres dans l’organisme que la vitamine C est chargée de neutraliser. De ce fait, le taux de vitamine C dans le sang est considérablement diminué et nous sommes particulièrement fragiles. C’est ainsi qu’il est alors très facile d’attraper un rhume, une grippe voire pire. Le fameux « Mangez 5 fruits et légumes par jour » se révèle donc insuffisant pour toute personne voulant prendre soin de sa santé.De manière générale, 1 à 2 grammes en supplémentation est une bonne chose. Adaptez votre supplémentation selon votre taux d’exposition aux facteurs ci-dessus et selon votre ressenti. Selon certains chercheurs les besoins peuvent grimper à plus de 10 grammes. Le surplus est éliminé dans les urines. Une dose trop importante entraînera une diarrhée. Choisissez une vitamine C pure, c’est-à-dire pas de gélule ni comprimé, prenez la en poudre. Prenez la sous l’appellation « acide L-ascorbique dextrogyre », c’est la seule intéressante. À ma connaissance cela ne se trouve pas en pharmacie, et c’est là toute l’ironie, vous devez donc l’acheter sur internet. La vitamine C en pharmacie (avec les colorants, arômes, le sucre ajouté) se vend jusqu’à plus de 10€ pour 30 comprimés de 500 mg (15 jours d’utilisation à 1g/j), cela reviendrait à plus de 200€ par an ! J’ai eu la mienne à moins de 60€ pour un pot de 1 kg sans le moindre additif. Calculez la différence.
  • Vitamine D : la peau la synthétise directement lorsqu’on s’expose aux rayons du soleil. Il faut savoir que ce sont les UVB qui permettent sa synthèse et que les vitres filtrent les UVB, donc vous ne produisez pas de vitamine D à travers une vitre ! La pollution et la crème solaire diminuent fortement cette synthèse. La synthèse est la plus importante aux heures les plus chaudes de la journée. Pour avoir votre dose quotidienne, exposez vous 15 minutes, avec le moins de vêtements possible et sans crème solaire entre midi et deux. Ça c’est pour l’été. En hiver, il est nécessaire de supplémenter car cette synthèse n’est plus possible (80% de la population française en est déficitaire en hiver). L’autre apport possible est par l’alimentation, or aucun aliment n’est assez riche en vitamine D pour couvrir nos besoins. Il faudrait manger plusieurs kilos de poissons tous les jours, vu le prix et les métaux lourds qu’ils contiennent, ce n’est pas la solution que je vous suggère ! Je conseille la prise quotidienne de 4000-5000 UI (2000 UI pour 30 kg de poids). Cette supplémentation prévient l’ostéoporose, protège contre une quinzaine de cancers, a un effet bénéfique sur l’immunité… De nombreuses études ont prouvé tous ces bienfaits. Foncez acheter du Zyma D, c’est vraiment peu cher comparé aux effets sur la santé. Faites un dosage de vitamine D régulièrement pour vérifier votre taux de vitamine D dans le sang.
  • Complexe multivitaminé : dans le contexte de stress, du manque de vitamines dans l’environnement, etc, il est fort utile de prendre un complément multivitaminé pour lutter contre le stress et la fatigue. Ces compléments sont riches en antioxydants. L’un des meilleurs sur le marché est le NuPower. Vérifiez l’absence de fer, cuivre et manganèse si vous optez pour un autre. C’est un critère très important pour le choix d’un produit, il ne faut pas apporter ces métaux sous forme de complément alimentaire. Si vous avez peur d’un surdosage en prenant de la vitamine C + vitamine D + NuPower ou autre multivitaminé, ne vous en faites pas, le NuPower contient peu de ces vitamines du fait que la législation française sur les compléments alimentaires impose des restrictions.

6) Faites de l’exercice régulier

Ce conseil est un incontournable, surtout si vous vous travaillez assis ou que vous ne bougez pas beaucoup dans la journée. Pratiquer un sport est bon pour le moral, pour le cœur, pour le physique, pour lutter contre les maladies, pour perdre du gras, pour rencontrer des gens…
Il n’y a que des points positifs à pratiquer un sport !
Veillez simplement à éviter l’excès : ne faites pas de footing tous les jours, c’est logique. Adaptez votre consommation de vitamine C comme je l’ai précisé dans le point précédent. Attention si vous n’avez jamais fait de sport ou en tout cas depuis plusieurs années, ne vous y remettez pas brusquement. Commencez lentement et allez-y crescendo.
Note : j’ai abordé succinctement certains sujets dans cet article que je développerai plus longuement ultérieurement, à savoir sur : les cosmétiques, les vaccins, l’eau, les modes de cuisson


comment avoir une bonne mémoire


Voici 7 secrets pour que vous développer votre mémoire le plus rapidement possible, et la maintenir au top tout au long de l’année.
Dans chacun de ces secrets je vous livre une astuce personnelle pour mettre en pratique chacun de ces 7 secrets.
Vous n’êtes pas obligé(e) de toutes les intégrer en même temps. En effet, même si vous n’en choisissez qu’une seule, vous aurez des résultats qui vont étonner, très rapidement !

1- Pour développer votre mémoire, partez dans l’intention de mémoriser
L’intention fait toute la différence. Lorsque vous êtes en position passive ou lorsque vous ne prêtez pas suffisamment attention, vous savez déjà que vous ne retiendrez que peu de choses (le début et la fin, typiquement). Alors que lorsque vous êtes concentré(e) sur quelque chose, votre mémoire fait plutôt bien son travail.
Si vous ne faites pas le choix conscient de mémoriser l’information qui va vous êtes présentée, votre cerveau sera facilement distrait s’endormira petit à petit.
Prenez donc l’engagement de faire de votre mieux pour rester concentré(e) et mémoriser juste avant que l’information commence. Cela peut sembler une évidence, mais le faites-vous réellement ? C’est à vous de donner le signal à votre cerveau que ce que vous allez voir/entendre/lire est important pour la suite.
puce
Astuce numéro 1 : lorsque vous vous sentez décrocher, recentrez-vous sur le moment présent en utilisant vos 5 sens. Le fait d’utiliser vos 5 sens va vous éviter de partir dans les rêveries et rallumera le feu de votre mémoire qui s’éteignait doucement.
puce
Astuce numéro 2 : l’astuce précédente marche, mais elle demande de l’énergie. Pour en dépenser moins et rester concentré(e) plus longtemps (et donc mieux mémoriser), vous pouvez vous entraîner à utiliser ces deux techniques de concentration.

2- Donnez du sens, créez des liens
Si ce que vous tentez de mémoriser n’a aucun sens pour vous, ou ne vous passionne pas, est terriblement compliqué, alors vous aurez toutes les peines du monde à les retenir. Vous avez besoin de donner du sens aux informations, de les comprendre, mais aussi de créer des liens dans votre cerveau.
Associez ce que vous voulez retenir à des choses que vous connaissez. Soit par des associations imagées, soit en utilisant des métaphores, soit en utilisant des mots clés pour synthétiser l’information. C’est le secret d’une bonne mémoire. Faire ces liens va permettre à votre cerveau de créer d’autres « routes d’accès » vers l’information mémorisée. Si vous ne faites pas ces liens, ces comparaisons (même si elles n’ont pas de rapport avec le sujet ce n’est pasimportant !!!) alors vous limitez sérieusement vos chances de vous rappeler de l’information.
puce
Astuce numéro 3 : travaillez votre imagination pour créer d’autres chemins d’accès à l’information pour votre cerveau. A quoi vous font penser ces informations ? Qu’est-ce qu’elles vous rappellent ? Vous augmenterez votre taux de rétention de 50%.

3- Laissez le temps à votre cerveau de digérer
Pour améliorer durablement votre mémoire, vous devez laisser le temps à votre cerveau de digérer. Mémoriser est un acte volontaire (voir 1er point) qui demande beaucoup d’énergie. De plus, vous avez besoin de temps pour assimiler les informations. Rassurez-vous, ce temps n’est pas long, 10 minutes suffisent. Mais si vous ne le prenez pas, vous prenez le risque de saturer votre mémoire, ce qui à terme la dégrade.
puce Astuce numéro 4 : entre chaque séance où vous avez fait un effort conscient pour mémoriser, laissez-vous respirer 10 minutes un quart d’heure si possible. Durant cette période, ne faites rien. Laissez faire, ou bien alors gribouillez sur du papier en repensant à ce que vous venez de voir, de façon détendue.

4- Utilisez ce que vous mémorisez au cours de la journée
Quelle est la meilleure façon de retenir quelque chose ? C’est de s’en servir ! En utilisant ce que vous apprenez au cours de votre journée, vous donnez à votre cerveau de nouvelles habitudes. Vous lui indiquez que ce que vous avez appris est important. Par la même occasion, vous commencez à répéter l’information pour l’enregistrer durablement (voir point suivant). Ceci est particulièrement vrai pour les procédures manuelles où vous avez besoin de reproduire ce que vous voyez, de tester, d’expérimenter par vous même, mais également pour toutes les informations théoriques et bien sûr pour apprendre les langues !
puce Astuce numéro 5 : comment utiliser une information très théorique ? Au cours de la journée, débrouillez-vous pour placer dans une conversation les points importants que vous avez appris ! Ce peut-être un jeu. Le but étant que vos interlocuteurs ne se rendent pas compte qu’il s’agit d’informations apprises, mais « naturelles » pour vous ;). Vous pouvez également l’utiliser comme la technique du vocabulaire.

5- Répétez vos informations intelligemment
Vous avez peut-être entendu qu’il faut répéter pour apprendre ? C’est vrai, mais beaucoup font n’importe comment ! Soit ils le font trop (et ca devient du par coeur), soit ils ne le font pas assez, et l’information s’échappe. C’est la répétition qui ancre vos informations dans votre mémoire. Pour cela, vous pouvez suivre les astuces du point 4, ou procéder à un rappel conscient de vos informations  en suivant la courbe de l’oubli d’Ebbinghaus.
puce Astuce numéro 6 : pour ne pas louper des rappels, procédez soit avec des alarmes sur votre téléphone, ou bien notez sur un post-it les rappels que vous collerez à un endroit que vous ne pouvez pas éviter, un peu à la manière de la technique de l’objet insolite.

6- Enseignez ce que vous apprenez
Cette citation d’Einstein que j’avais posté sur la page Facebook vaut mieux que tous les longs discours. Pour vous assurer de maîtriser votre information et de l’avoir mémorisée correctement, vous devez être capable de l’enseigner à quelqu’un qui n’y comprend rien. En faisant ce simple effort, vous obtiendrez une mémorisation bien plus puissante que ce qu’avec d’autres techniques, et en plus vous procéderez ainsi à des rappels ! (voir point précédent).
puce Astuce numéro 7 : Utilisez la technique du petit Norbert ! De plus, il peut être très intéressant de connaître les tempéraments RGMP de vos interlocuteurs lorsque vous cherchez à enseigner quelque chose…
7- Utilisez des techniques de mémorisation pour gagner du temps.
Parfois l’information est vraiment trop compliquée à retenir. Soit elle ne vous évoque rien, soit elle n’a aucune signification, soit elle est difficile à réutiliser… bref, elle est froide, sans saveur et c’est un cauchemar à retenir ! Dans ce cas vous avez besoin d’utiliser des techniques pour développer votre mémoire et l’amener à un autre niveau. Des astuces mnémotechniques, ou bien tout simplement l’une des millions que vous trouverez ici sous la rubrique mémoiredu blog 
puce
Astuce numéro 8 : les techniques de mémorisation vous permettent de retenir des informations impossibles à retenir humainement parlant. N’hésitez donc pas à y passer un peu de temps au début, pour en gagner énormément par la suite !